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sarkozy

  • Fautes indignes de la part du PS

    Au-delà des actes politiques discutables, des déclarations empressées, improvisées, le PS (Président Sortant) s'est rendu coupable de plusieurs dérapages insupportables au cours du quinquennat.

    J’en retiens deux. La première erreur concerne une des valeurs fondamentales de la République, la seconde est d’ordre comportemental. 

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     Laïcité

    Il s’est attaqué à l’un des piliers de notre république, la laïcité, prétendant notamment qu’un prêtre était supérieur à un instituteur.

    Il a semé le trouble en s'adressant aux islamistes, ce qui n’est pas le rôle du Président de la République.

    La neutralité de l'école publique exige la neutralité du Président, garant de nos institutions républicaines dans le respect de toute croyance, veillant à ce qu'aucune propagande, ni signe religieux ne pénètrent au sein de l'école laïque.

    Turpitudes et familiarités déplacées

    Il tutoie certains de ses ministres en conseil, tutoie aussi Barack Obama, embrasse Merkel. Autant de familiarités qui ne sont pas du rang d’un Président.

    Il y a eu les séquences "racaille" et "casse-toi pov’con", et plus grave encore, il a traité un ambassadeur de "connard" dans un cadre officiel.

    Il a embarqué un chanteur et un humoriste vulgaires dans un voyage au Vatican.

    Il a divorcé et fait un remariage express assez invraisemblable.

    Des comportements indignes pour le plus haut représentant de l'état qui ne respecte pas la hauteur nécessaire, institutionnelle, qu’exige la mission.

     

  • Aux larmes, citoyen !

    Tout s'explique, ou sous l’homme, 1 belle âme et 2 belles dames. J’en suis ému aux larmes, citoyen. 

    Clic pour agrandir : 

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  • Gaffe au jeu de dupes

    A la commande le capitalisme financier, ses grands patrons, les conseils d’administrations et les actionnaires.

    A la manœuvre les technocrates de l’ombre, Enarques, polytechniciens et autres crânes d’œuf.

    En vitrine, les leaders, bras armés des premiers, avec une surexposition de l’ego qui occupe l'espace médiatique, sollicite le regard du public et les attentions de toute une presse occultant en cela les vrais problèmes des français moyens... Se faisant l'écho à longueur de colonnes et de diffusions télé, de considérations subalternes.

    Est-il imbécile de penser que les sondages notamment, sont des alibis qui focalisent la grande majorité des media sur les produits étalés en vitrine, sur la forme ? Mélangeant au passage la sphère privée à la sphère publique, usant de stéréotypes, manichéismes et autres dérives. 

    La meilleure preuve nous est offerte par Sarko, "président des riches(Monique Pinçon-Charlot et Michel Pinçon). On a tous pu constater l’échec de ses promesses faites au peuple de France en 2007 et la réussite des cadeaux octroyés à sa caste. Sarko en VRP affichant la marchandise, débitant des boniments, servi par des journalistes TV qui marquent une déférence flagrante. Sarko pour la galerie, statufié au musée Grévin du pouvoir, qui abuse de l’outrecuidance de la personnalisation dudit pouvoir quand il n’est jamais que la marionnette de l'oligarchie.

    Voilà donc les électeurs embarqués dans un jeu dont ils ne mesurent pas toujours les vrais enjeux de la droite libérale puisqu’ils sont camouflés, habillés par de vertueux engagements. Gardons-nous de cette droite-là. La gauche a ses travers, ils feront l'objet d'un prochain petit papier.

    En conclusion, soyons vigilants, gaffe au jeu de dupes distillé par la Sarkozie.