Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Livre

  • Le chimiste de Séville

     LE CHIMISTE COUVE 13X18 300DPI.jpg

    Extrait

    En cette fin d’après-midi de juillet 2012, le thermomètre affichait 40° dans les ruelles de Séville, l’oppressante chaleur, l’atmosphère poisseuse auguraient de l'irruption imminente de l’orage qui ne tarderait pas à lessiver l'asphalte. 

    Babel Santa sortit comme à son habitude vers 19 heures 30, parapluie sous le bras, cigarette au bec « Un último cilindrín antes del Apocalipsis, ricanait-elle, une dernière clope avant la fin du monde. »  A la même heure, sur l'austère paillasse, Paco Santa manipulait ses instruments de chimie avec méthode et prudence, quand tout à coup, jailli de la rue, retentit un crissement de freins suivi d’un cri strident.

    blue.gif

    La pirouette littéraire qui fait du récit une vraie nouvelle, est saisissante, c'est parfait ! On a envie, à la fin de cette lecture, d'en lire d'autres du même acabit !

     Christine Dujardin. Bibliothécaire

     Un style latino, foisonnant, pittoresque, une lointaine filiation avec le «réalisme magique» de Garcia Marqués. 

     Roland Faye. Traducteur

    Nouvelle rigolote. Inattendue. Je voyais bien de quoi il retournait, je cherchais, sans comprendre comment ça se passerait, la chute est jolie. Un beau crime. Finalement, c’est la grande question, comment se débarrasser de son couple.

     Bruno Vincendeau. Ecrivain

    séville,jabugo,chimiste

    séville,jabugo,chimiste

     

  • RAX ou les cadrages exquis (mots)

    Noche sin dormir. ¿ Por qué no te duermes negrito que tu mamá está en el campo ? 

    A ma gauche "Murámonos, Federico" de l'écrivain costaricieJoaquín Gutiérrez, traduit par l'amigo Roland Faye. A ma droite l'IPhone.

    Combat qui tourne vite à l'avantage de la merveille technologique. Je le regrette en somme, la lecture est si souvent "rêvissante". J'ai fort envie de relire ce bouquin, de faire une virée à Limon pour pas un rond. Sed, but, mais, pero ma vue. Optic 2000.

    Mon regret est de courte durée, Eddy Mitchell, son dernier Olympia, il ne sait pas qu'il me régale à 2h du mat sous des strates de couvertures. Puis Arte, Ragnar Axelsson, la vache, non la baleine ! Admirable, eussè-je dormi que c'eût été une faute tant le travail de ce photographe est admirable. Il photographie en N&B ses compatriotes islandais et les contrées boréales, les îles Féroé, le Groenland, les chasseurs Inuit. Chef d'oeuvre. Paysages et portraits mêlés dans une lumière magnifique, des cadrages... exquis. A me filer le désir de me saisir du Canon 5D au plus tôt, sitôt finie la plaisanterie de Monsieur Tanner.

    Ragnar Axelsson, RAX http://www.rax.is/

    rax2.jpgRAX.jpgRAX3.jpg