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La libido de la conso

 Le triomphe du libéralisme anglais

 Il contamine le monde et c’est le triomphe du diable. L’avidité détruit ce      monde, elle est en partie responsable de la crise. Le Libéralisme à la Tatcher, qui lui survit, croit en l'individu en premier, néglige la protection sociale et la redistribution des richesses par l'impôt. Conséquence directe, il permet à une minorité de s'enrichier et appauvrit la majorité.

Supercherie de l’économie

L’économie c’est le règne des intérêts privés et la politique est à leur service. Le politique est sensé réguler ce marché, de faire collectif… Or la vie de la cité, le pétrole, l’environnement, le réchauffement de la planète sont gérés par l'économie, la finance a repris le pas sur la politique. Le politique a abdiqué, c’est la banque qui le remplace. 

Parallèlement, on assiste au règne affligeant du Bling-bling pour satisfaire l'orgueil, le pouvoir au risque de tout détruire autour de soi, n'est-ce pas le cas de politiques et capitaines d'industrie tels que Sarko, Bill Gates, Berlusconi ? Conséquemment, cela nourrit une compétition excessive, une véritable guerre. 

Et si la Droite libérale défend les intérêts privés, la Gauche serait bien inspirée de s’en démarquer.

Dépenser pour ne pas penser

Le capitalisme puise dans les pulsions et les passions, il flatte l’âme d’en bas. "Les vices privés font la vertu du public", cette formule libérale est une cata : le marchand se fonde sur la libido, le désir de la consommation, le plaisir du Toujours Plus, la jouissance de l’achat. Qui n’a pas son 4x4 et sa Rolleix et sa baraque et sa piscine est un pov’ con.

Le vice est une vertu... c’est le règne où on peut tout inverser, dans l’info c’est pareil, on est dans la com. On va vite, toujours plus sans penser, réfléchir, on est dans l’instantané, dans le spectaculaire, le sensationnel. On dit n’importe quoi et la rumeur qui vient d’en bas devient vérité.

 Face à l'avidité de la consommation, la Renaissance par la Philo

  "L’élève s’élève", il faut se dégager de l'empreinte de l'autorité quasi-magistrale ou paternaliste de l’économie de marché, prendre de la hauteur, penser, se cultiver pour sortir des basses pulsions. Il faut aller vers un nouvel humanisme pour recentrer la société sur l’homme afin qu’il ne soit plus assujetti aux banques.

 Il faut remettre le travail réflexif à l’honneur, sortir de l’avidité de la   consommation. Penser, être critique cesser d’être consommateur. Paradoxalement, il faut penser par soi même pour être altruiste. Il faut mettre de la philo dans l'Euro coco...

 

Commentaires

  • Pour un coup de gueule... mais n'est-il pas trop tard ! tout est joué subversivement depuis longtemps... que nous reste-t-il à l'heure où les jeunes sont en majorité déjà vieux et cons (pas tous)dans un facebook qui leur fait croire qu'ils ont vécu leur vie avant de l'avoir commencée... qui peut nous sauver de l'argent et de ses avatars ! il ne reste plus que Dieu et comme il fait n'importe quoi depuis 2000 ans, on est pas sortie de l'auberge rouge ! oui à la philosophie d'un autre temps qui ne sera pas de celui là. Malheur aux pauvres et longue vie de merde aux riches.

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