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  • Mademoiselle

     

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    Alors ce mademoiselle qu'on voue désormais aux gémonies au point de l'avoir supprimé... j'entends pas mal de sornettes et beaucoup de conneries à cette occasion.

    Telle féministe, ravie de l'abandon de l'appellation, nous explique que cela rabaissait la femme, que c'était... discriminatoire ! Il s'agissait d'une intrusion dans la vie privée de la femme. Les bras m'en tombent. D'ailleurs, poursuit-elle, le terme damoiseau pour l'homme n'est-il pas tombé en désuétude depuis 2 siècles ! Et alors, que l'on m'explique ! Un peu court face à l'élégance du mot.

    Une demoiselle, autre argument, définit une vierge, une pucelle ou une célibataire, ma grand-mère s'appelait mademoiselle et je trouvais cela bizarre. Il y a belle lurette que l'usage de Madame s'est imposé dans ce cas.

    Mademoiselle qui passez sans me voir, Mademoiselle chante le blues et moi je broie du noir à l'idée de passer pour un macho ringard s'il m'arrive de dire "bonjour mademoiselle" à... une jeune femme !

    Mademoiselle, c'est léger, ça sonne beau. Madame ça vous classe et c'est très bien ainsi mais alors comment faire à présent ? Nommer cette jeune femme Madame ou user de son prénom me dit-on... qu'elle porterait au frontispice de sa silhouette !

    Poète range ton luth ! Ridicule vous dis-je !

  • Gaffe au jeu de dupes

    A la commande le capitalisme financier, ses grands patrons, les conseils d’administrations et les actionnaires.

    A la manœuvre les technocrates de l’ombre, Enarques, polytechniciens et autres crânes d’œuf.

    En vitrine, les leaders, bras armés des premiers, avec une surexposition de l’ego qui occupe l'espace médiatique, sollicite le regard du public et les attentions de toute une presse occultant en cela les vrais problèmes des français moyens... Se faisant l'écho à longueur de colonnes et de diffusions télé, de considérations subalternes.

    Est-il imbécile de penser que les sondages notamment, sont des alibis qui focalisent la grande majorité des media sur les produits étalés en vitrine, sur la forme ? Mélangeant au passage la sphère privée à la sphère publique, usant de stéréotypes, manichéismes et autres dérives. 

    La meilleure preuve nous est offerte par Sarko, "président des riches(Monique Pinçon-Charlot et Michel Pinçon). On a tous pu constater l’échec de ses promesses faites au peuple de France en 2007 et la réussite des cadeaux octroyés à sa caste. Sarko en VRP affichant la marchandise, débitant des boniments, servi par des journalistes TV qui marquent une déférence flagrante. Sarko pour la galerie, statufié au musée Grévin du pouvoir, qui abuse de l’outrecuidance de la personnalisation dudit pouvoir quand il n’est jamais que la marionnette de l'oligarchie.

    Voilà donc les électeurs embarqués dans un jeu dont ils ne mesurent pas toujours les vrais enjeux de la droite libérale puisqu’ils sont camouflés, habillés par de vertueux engagements. Gardons-nous de cette droite-là. La gauche a ses travers, ils feront l'objet d'un prochain petit papier.

    En conclusion, soyons vigilants, gaffe au jeu de dupes distillé par la Sarkozie.