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Le festif totalitaire

Le diktat du rire, la vulgarité à fleur de mots et leur corollaire d'applaudissements incessants, m'irritent, m'exaspèrent !

Lucchini, ce matin sur France Inter, parle quant à lui de doxa (Ensemble des opinions communément admises dans une société donnée).

Et de citer, Lucchini fait du Lucchini, Guy Debord et Philippe Muray. Le premier, ai-je compris au vol, dénonce l’abandon du réel en faveur de sa représentation, le spectacle et ses travers. Le second dénonce un festif de circonstance qu’il qualifie de totalitaire.

" On n’entend plus les voix de la culture, on entend les voix des harpies,  des gribiches, le blabla Canal + de la pseudo-dérision. La vraie dérision, c’était Desproges." a conclu le comédien de " Alceste à bicyclette " qu'il faudrait aller voir. 

 

Commentaires

  • C'est juste... Certains pètent dans la soie et ne sentent même plus leurs effluves !!! Merde alors !
    la dérision n'est pas un but en soi... elle s'accomplit justement.
    la radio me bande... tous ceux qui savent tout me bandent...je suis un écouteur de musiques.

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