En ce printemps clément de l'an 2007, la France appela aux urnes ses citoyens pour lui donner un nouvel Être Suprême.
Le premier tour désigna Ségolène et Nicolas. François, médaillé d'argent, en fut contrit. Cependant, naturellement à l'aise dans l'entre-deux, il se prit à jouer les trouble-fêtes...
Dans un quasi-huis-clos, un débat opposa donc Ségolène, plutôt infatuée, convenons-en, à François, plutôt chaleureux, de l'ex-bande à Léo. Que sont ses amis devenus, Léo, Longuet et Madelin, je crois le vent les a ôtés...
Ils tinrent des propos fermes, courtois, dignes. Dont acte. Chacun des auditeurs avait apprécié de sa lucarne.
Chez cette femme du Poitou, François appréciait l'essentiel, ça faisait des conciliabules chez les Sarkottes en courroux... Nicolas, maire des pauvres de Neuilly, éructa à leur endroit quelque médisance "Les 2 bavassent dans les salons d'un hôtel de luxe" et autre incongruité "Moi, je suis près des travailleurs..."
Nicolas et ses clans n'avaient-ils pas la main sur des médias qui excellaient dans l'art de passer la politique à la moulinette de la communication... Le Grand Maelström politico-médiatique.
Cf.
"La Société du Spectacle" de Guy Debord
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